Ce qu’ils font
A l’aube de l’explosion du big data et de la multiplication des échanges de données à toutes les échelles, les entreprises en quête de leviers de croissance doivent relever de nouveaux défis notamment dans l’optimisation de leurs outils informatiques.  A ce titre, l’échange des données entre la mémoire RAM aussi appelée mémoire vive (mémoire rapide pour stocker les programmes actifs de même que des données et des résultats intermédiaires dont le processeur peut avoir besoin) et le processeur (puce électronique qui réalise les calculs), représente le goulet d’étranglement le plus problématique en termes de performance.

UPmem est la seule entreprise à avoir su tirer profit de l’architecture « Processor-in-memory ». Depuis 2015, ils offrent une solution qui résout le problème du « memory wall », i.e. de la communication entre la mémoire vive et le processeur. La technologie qu’ils ont développée après quelques années de R&D, améliore la mémoire et la bande passante sans pour autant changer les interfaces physiques des serveurs. UPmem attirait déjà l’attention des plus grands éditeurs de logiciel au monde ainsi que des leaders mondiaux dans l’industrie des semi-conducteurs, avant que nous les rencontrions et qu’ils nous impressionnent à leur tour.  Nous sommes persuadés qu’ils vont révolutionner le Big Data et qu’ils sont les pionniers d’une nouvelle génération de semi-conducteurs.

Comment nous nous sommes rencontrés
Loin d’imaginer qu’ils allaient créer une start-up aussi prometteuse, Gilles Hamou et Fabrice Devaux se sont rencontrés durant leur enfance, alors qu’ils fréquentaient la même école primaire. Gilles nous a été présenté par Charles-Antoine Beyney, le fondateur d’Exit Everywhere -qui commercialise et installe des data centers modulaires. Charles-Antoine nous avais rejoint chez Cleeng. Au terme d’une due diligence minutieusement menée par notre équipe et avec l’aide de notre Operating Partner André, nous étions fin prêts à investir, avec Charles-Antoine bien sûr ainsi que d’autres fonds.

Quand Olivier a négocié les termes de l’investissement, Gilles s’est avéré être un négociateur acharné. Nous sommes donc heureux de l’avoir dans notre camp désormais.